Plusieurs semaines après la fin du Grand Prix de Pau, des installations sont encore présentes sur place. Les riverains du stade Tissié ne décolèrent pas et s’agacent.
Ils ne comprennent pas pourquoi les barrières de béton, qui séparent la piste des stands, sont toujours présentes sur place.
« On se sent méprisés. Seul, le Grand Prix compte, pas ses conséquences », poursuivent ces Palois aux premières loges de l’événement et qui attendent la disparition des dernières traces de la cuvée 2022.